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Kévin Le Saint

Instruments à vent, claviers

Ayant reçu à 5 ans une petite flûte irlandaise en cadeau de son grand-père, il se passionne très jeune pour les répertoires celtiques ainsi que pour la musique ancienne. Quelques années plus tard, il suit des études au CNR de Nantes (musique de chambre, flûte à bec, clavecin) puis au Conservatoire Supérieur de Paris (harmonie, fugue, contrepoint...), où il obtient plusieurs premiers prix. Il pratique une trentaine d’instruments différents : claviers, flûtes des quatre coins du monde, uilleann pipe, saxophone soprano, duduk, hulusi, bawu, percussions. Il est également l’inventeur de quelques instruments originaux.

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A l'initiative de plusieurs projets autour de ses compositions, notamment les groupes Tevenn, Yoksel Moksel et Arzan, il nourrit son savoir-faire d'influences celtiques, balkaniques, russes, scandinaves, africaines ou encore indiennes. Explorateur perpétuel de nouveaux territoires musicaux, sa curiosité l'a guidé de l'Irlande aux rives du Gange et l'a amené à collaborer avec des musiciens d'horizons très divers.

Théo Pichard
Chant, claviers

Bercé de musiques traditionnelles, nourri du répertoire des musiciens de Bretagne, mais aussi des sonorités irlandaises, chinoises, andalouses et andines, Théo commence très jeune à jouer du piano et à chanter de manière autodidacte. Fort des conseils de pianistes comme Pierre-Yves Plat et Didier Squiban, il ne perd jamais l'envie de progresser. Il développe un projet en solo autour de l'improvisation et de ses compositions, qui l'amènera à jouer au Family à Landerneau, ou au Quartz à Brest, et même à Nantes, Montpellier, ou encore à Saint-Germain des-Prés pour les rencontres Imagine organisée par les JMF.

Aveugle de naissance, et grand passionné des cultures et des langues du monde, il suit des études littéraires approfondies, se spécialisant notamment en linguistique espagnole et quechua. Il étudie également en autodidacte le sanscrit, le japonais, le tahitien, le maya, le nahuatl, ... Ses étonnantes dispositions pour les langues et ses qualités musicales trouvent à s'exprimer conjointement dans l'univers d'Arzan.

Magali Delaygues

Chant

Après une enfance passée entre Haïti, le Bénin et la Guadeloupe, Magali pose ses valises en Bretagne. Elle participe à diverses chorales avant de lancer, en 2011, le groupe Baraman, un trio autour de compositions en français. Elle chante également en breton dans les festoù-noz, notamment avec le quatuor vocal féminin ChuchuMuchu ou encore avec le violoniste Dan Ross. Et depuis toujours, au quotidien, elle chante dans une langue spontanée qui s'affranchit de tout lexique et toute grammaire, faite de sons imaginés qui lui permettent d'exprimer toute une gamme de sentiments.

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Peu à peu, elle découvre que cette langue permet aussi d'échanger et de partager des émotions. A cela rien de surprenant, puisqu'il s'agit d'une langue qui vient du cœur... Au sein du collectif ENO, avec le groupe Naad Japa, elle trouve le terreau musical qui permet à sa créativité de s'épanouir et à ses compositions de s'enrichir.

Julien Bataille

Cordes pincées, chant
 

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Originaire du sud-ouest de la France, Julien débute la guitare électrique en autodidacte à l'adolescence en jouant du rock progressif. A 19 ans, il découvre la technique du « finger-picking » et passe à la guitare acoustique. Au début des années 2000, il s'établit à Paris où il fait l'apprentissage de l'improvisation jazz et du « swing manouche ». A partir de 2006, il se professionnalise et fait de multiples rencontres dans cette ville monde qu'est Paris. Ne voulant pas s'enfermer dans un style musical donné, il développe ses talents de guitariste dans différentes directions qui vont du jazz aux musiques du monde en passant par la chanson.

Progressivement, il ajoute « d'autres cordes à son arc », cordes pincées pour l'essentiel : famille des mandolines, ukulélé, autoharp, charango, banjo... En 2017, il s'établit en Bretagne où il contribue à la création du collectif ENO.

Eric Ganter

Percussions

Eric étudie les percussions auprès de Michel Delaporte puis de Sydney Thiam, qui lui enseignent la technique des congas et les rythmes afro-cubains. À la recherche des sources de cette musique, il entreprend à la fin des années 80 plusieurs voyages en Afrique de l’ouest, où il rencontre des maîtres de djembé. Il participe à de nombreux projets autour des musiques métissées, avec les indiens Mapuche de la Puta Banda, le flûtiste soudanais d’afro jazz Gandhi Adam ou encore le chanteur ivoiro-camerounais Kanandjo.
 

Il travaille également pour le cinéma en tant que bruiteur et pour le théâtre (création sonore pour diverses compagnies parisiennes), et il collabore avec la plasticienne et performeuse Meris Angioletti. Son set de percussions mêle des instruments africains, cubains, moyen-orientaux et des éléments de batterie pour offrir une riche palette de couleurs aux groupes Arzan et Naad Japa.

Ivan Le Saint

Contrebasse

Après avoir pratiqué la guitare, notamment l'accordage DADGAD utilisé en musique bretonne et irlandaise, Ivan a un coup de cœur pour ce qui deviendra son instrument de prédilection : la contrebasse. Il pratique d'abord en autodidacte, puis se forme au conservatoire de Brest, où il étudie le jazz et l’improvisation libre. En parallèle, il s'intéresse à l’improvisation modale et aux musiques traditionnelles, aux rythmes asymétriques d’Europe de l’est, à la musique irlandaise et aux danses bretonnes.

Il a participé à des projets très divers: Meascan, Flamm (fest noz), Yoksel Moksel, Layland (folk), Helga (rock), Rue Traverse (chanson française), Monsieur Léo (spectacle jeune public), avant de collaborer activement au collectif ENO avec les groupes Arzan, Naad Japa et Les bêtes curieuses.

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